Un article très intéressant sur les dérives actuelles, même si je ne suis pas sûr de partager toute l’approche de l’auteur sur la question de la magie… qui elle est opérationnelle si pratiquée dans le respect des principes.
[NDLR : une ébauche rapide pour un risque social élevé]
Des mots et des expressions comme des météorites, traversent de plus en plus fréquemment l’espace commun et réalisent un véritable bombardement social : domination masculine, matrice, genre, hétéronormativité patriarcat, hétéronomie, assignation, division arbitraire, nature, culture, violence symbolique…
Ces expressions sont issues des sciences sociales et elles trouvent une audience chaque jour plus importante et active qui s’en saisit comme moyens de propagandes, de positionnements social ou de revendications (néo-féministes, LGBTQI+, indigénistes, séparatistes,…)
En soi, cela n’appelle aucune critique : le mot est indispensable pour dire la chose, pour faire oeuvre épistémique ou donner le moyen de la lutte : poser et exprimer correctement un problème est la première étape de la solution.
Mais le danger apparaît lorsque le mot ne dit plus la chose :
Assurément, on peut aussi – sans se saisir de la Chose – se battre avec…
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